Cass McCombs. Un artiste qui fait peu de bruit et qui pourtant produit toujours des titres d’une exceptionnelle qualité. Alors qu’il avait sorti l’an dernier deux magnifiques opus, Wit’s End et Humor Risk, l’un fait de tristesse et l’autre de gaîté, il revient avec un 45 tours à ne pas manquer.
Deux titres sont présents (logique), “Bradley Manning” et “Empty Promises“. Ces deux morceaux de slow core sont des modèles du genre où Cass McCombs y exprime la puissance de son art. Sa musique est toujours très poétique et innocente, on y atteint la force des haïkaïs, ces poèmes adorés par Kerouac dont le but était de traduire en toute simplicité la beauté du monde. Écouter la musique de Cass McCombs amène à de telles considérations, à se délecter de la moindre sonorité, lui qui exprime avec si peu tant de sentiments. Il est en somme un genre de Christopher Owens moins médiatique, un songwritter que l’on apprécie à travers les années.
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Album Review de Wit’s End
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