Bass Drum of Death. Ce nom pourrait être celui d’un obscur groupe de métal, de ceux qui nécessitent une aspirine après seulement quelques minutes d’écoute. Il n’en est rien. Ce duo, tout droit venu du Mississippi, nous délivre un Garage rock aussi réjouissant qu’inspiré, la raison de cet article à contretemps.
À l’origine, Bass Drum of Death était le projet solo de John Barrett qui se trouvait tour à tour -et parfois simultanément- à la guitare, au chant et à la batterie. C’est en 2008 que Colin Sneed va compléter le duo. Il faut alors partager les rôles et surprise, lui le guitariste, se retrouve à la batterie sans en avoir réellement joué auparavant. Si Colin trouve rapidement ses marques et se rend par la même indispensable, John Barrett reste le leader naturel du groupe et compose la plupart des titres.
Leur premier album, GB City, est sorti en 2011 sur le label Fat Possum. Ce même label qui avait produit les deuxième et troisième albums des Black keys, respectivement Thickfreakness et Rubber Factory. De bon augure donc pour ce duo assez discret dans les médias qui était notamment à l’affiche du festival Rock en Seine l’été dernier. Si Bass Drum of Death ne révolutionne pas le genre, on ne se lasse pas d’écouter leurs élucubrations garages, en attendant la suite avec curiosité et un brin d’impatience. Il se murmure que 2013 pourrait nous apporter quelques éléments à se mettre sous la dent.
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À l’origine, Bass Drum of Death était le projet solo de John Barrett qui se trouvait tour à tour -et parfois simultanément- à la guitare, au chant et à la batterie. C’est en 2008 que Colin Sneed va compléter le duo. Il faut alors partager les rôles et surprise, lui le guitariste, se retrouve à la batterie sans en avoir réellement joué auparavant. Si Colin trouve rapidement ses marques et se rend par la même indispensable, John Barrett reste le leader naturel du groupe et compose la plupart des titres.
Leur premier album, GB City, est sorti en 2011 sur le label Fat Possum. Ce même label qui avait produit les deuxième et troisième albums des Black keys, respectivement Thickfreakness et Rubber Factory. De bon augure donc pour ce duo assez discret dans les médias qui était notamment à l’affiche du festival Rock en Seine l’été dernier. Si Bass Drum of Death ne révolutionne pas le genre, on ne se lasse pas d’écouter leurs élucubrations garages, en attendant la suite avec curiosité et un brin d’impatience. Il se murmure que 2013 pourrait nous apporter quelques éléments à se mettre sous la dent.
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Anonyme
toute ressemblance avec un certain jack withe et son célèbre duo est totalement fortuite (ou pas) ?