Live Report : Ex Hex
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English version
Trash Kit stormed the stage with a very effective groove of Riot grrrl music. Furthermore, in order not to paraphrase the style of the nineties, Trash Kit added a most welcome Afro Pop. Remarkable.
The three divas of Ex Hex finally arrived on stage, with sequin shorts and a sharp guitar. Immediately, the group issued an gorgeous Glam Rock. The first titles were completed with the ease of a band that has dozens of singles to its credit. This is the strength of Ex Hex, only one album and already so many hits to choose from. Fluorescent rays seemed to have spurted out of Mary Timony’s guitar. Ex Hex then raised the tone, addressing the screeching solos that have given us an aftertaste of what the crazy days of CBGB was. This punk spirit drove the band to produce some stunning sequences.
The contrast between the absolute power of the music and the smiles of the three stooges did not take long to create a great euphoria, the kind for which ones Lester Bangs wrote that fortunetely, “nothing can cancel the reality of that night.” Black Sabbath had better watch out. The bodies arched and the guitars strained, Ex Hex issued the best Power Pop show I ever attended. The combo “New Kid” / “Hot and Cold” (see the video) was almost too much to handle; so good! 1977 is often described as the year of punk music, and Ex Hex reminded us that the glamor of those years was also in the power of Milk ‘n’ Cookies and other geniuses. The coup de grace was finally carried by an ultimate cover of Johnny Thunders’ “You Can’t not Put Your Arms Around A Memory“. Rips’ titles, meant to be played on stage, found a new meaning Tuesday night. This album is great, this band is great, it is impossible not to think that Mary Timony will soon be part of the living legends of the scene.
Trash Kit a pris d’assaut la scène avant qu’Ex Hex n’apparaisse. Le groupe a donné dans un Riot grrrl très efficace. Pour ne pas paraphraser le style des groupes nineties, Trash Kit y a ajouté une Afro Pop très bien venue. Remarquable.
Les trois divas d’Ex Hex sont finalement arrivées sur scène, shorts en paillette et guitare bien acérée. Immédiatement, le groupe a délivré un Glam Rock absolument splendide. Les premiers titres se sont enchaînes avec la facilité d’une formation qui a des dizaines de singles à son actif. C’est là la force d’Ex Hex, un seul album et déjà tant de morceaux de choix. Des rayons fluorescents semblaient jaïre de la guitare d’une Mary Timony tout à fait radieuse. Et puis, Ex Hex a forcé le ton, s’attaquant à des solos crissant qui nous auront donné un arrière goût de ce qu’était la folle époque de CBGB. C’est cet esprit punk qui a poussé le groupe a produire quelques magnifiques enchaînements.
Le contraste entre la puissance du son délivré et le sourire des trois comparses n’a pas tardé a créer une euphorie digne de ces soirées pour lesquelles Lester Bangs remerciait le fait que “nothing can cancel the reality of that night“. Black Sabbath n’avait alors qu’à bien se tenir. Les corps arqués et les guitares tendues, singles sur singles, Ex Hex a délivré le meilleur concert de Power Pop auquel je n’ai jamais assisté. Le combo “New Kid” / “Hot and Cold” était presque trop, trop bon. On décrit trop souvent ’77 comme l’année du punk, Ex Hex nous a rappelé que le glamour de ces années-là était également dans la puissance de Milk ‘n’ Cookies et autres génies du genre. Le coup de grâce fut finalement porté par une ultime reprise du “You Can’t Put Your Arms Around A Memory” de Johnny Thunders. Les titres de Rips, il faut le dire taillés pour la scène, ont trouvé un nouveau sens mardi soir. Cet album est grand, ce groupe est grand, impossible de ne pas penser que Mary Timony fera bientôt partie des légendes vivantes de la scène.
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