Interview Still in Rock : Cut Worms

After the last of the mohicans, here’s the last of the romantics. In the footsteps of Goethe, of Beethoven’s dissonance and Rubbens, Cut Worms makes this artistic movement the latest trend in terms of bedroom pop. Or should I say martian pop. Cut Worms is now the leader of this new scene that came from elsewhere, not entirely spectral – but spectral nevertheless, not entirely baroque – but baroque nevertheless, certainly seductive. And we are all the more seduced because Cut Worms tells us how much he love being in his bubble, and us with him. In this interview, we deal with his relationship with loneliness, goodbyes, sci-fi and celebrity vs. underground. Thank you for this sincerity, rare sincerity.

Après le dernier des mohicans, voici le dernier des romantiques. Dans la lignée de Goethe, de la dissonance de Beethoven et de Rubbens, Cut Worms fait de ce mouvement artistique la dernière tendance en matière de bedroom pop. Ou plutôt devrai-je parler de pop martienne. Cut Worms est désormais le chef de file de cette pop venue d’ailleurs, pas vraiment spectrale – mais spectrale quand même, pas vraiment baroque – mais baroque quand même, mais assurément séductrice. Et l’on est d’autant plus séduit que Cut Worms nous dit aimer être dans sa bulle, et nous avec lui. Cet interview est l’occasion d’évoquer son rapport à la solitude, aux adieux, à la science-fiction et à la célébrité vs. underground. Merci pour cette sincérité, rare sincérité.

Oui, j’ai l’impression que les choses changent très rapidement ici. Les immeubles anciens sont détruits et de nouvelles monstruosités apparaissent. Cependant, ce n’est pas propre à Brooklyn, c’est vrai partout.