Ah, the end of the decade… so here we are. To celebrate the 2010s, and to anticipate the ranking of the best albums of the last 10 years, I am starting a nostalgico-musicalo-retrospective to be featured every Monday. To this end, I bring out Still in Rock archives, a good excuse to listen to some “old” songs again and start the week in the best possible way. Here is Still in Rock new series: LOOK BACK.
La fin de la décennie… nous y voici donc. Pour fêter la fin des années 2010s, et pour anticiper le classement des meilleurs albums de ces 10 années, je débute une rétrospective musicalo-nostalgique. Et pour ce faire, je compte bien ressortir les archives Still in Rock, une bonne excuse à l’écoute de quelques “vieilles” chansons pour commencer la semaine dans la meilleure des dispositions possibles. Voici la nouvelle rubrique de Still in Rock : LOOK BACK.
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Le 19 février 2016, je disais (en résumé) de l’album Violet City Lantern du groupe Murals :
(article)
Violet City Lantern est si grand qu’il est difficile de mettre des mots dessus. Murals parvient à y capturer une part de la douce mélancolie qui nous habite. C’est une lanterne à la main que l’on découvre une ville enchanteresse plongée dans le noir. Chaque coin de rue est fleuri, des pavés jonchent le sol et la poésie du moment est contemplative. On y écoute la musique avec nos yeux. Murals semble avoir capturé toutes les sonorités les plus agréables de cette terre dans le but de les compiler dans un patchwork psychédélique inégalé.
Violet City Lantern est si grand qu’il est difficile de mettre des mots dessus. Murals parvient à y capturer une part de la douce mélancolie qui nous habite. C’est une lanterne à la main que l’on découvre une ville enchanteresse plongée dans le noir. Chaque coin de rue est fleuri, des pavés jonchent le sol et la poésie du moment est contemplative. On y écoute la musique avec nos yeux. Murals semble avoir capturé toutes les sonorités les plus agréables de cette terre dans le but de les compiler dans un patchwork psychédélique inégalé.
En 2019, je rajouterais :
Rien de la poésie de l’époque où j’ai écrit mon article sur Violet City Lantern n’a disparu. Cet album restera comme l’expérience la plus mystique de ma décennie. Que dire de plus, si ce n’est qu’il sera probablement l’album le plus under-appreciated des années 2010s.
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