LOOK BACK: Tame Impala – Lonerism (2012)

Ah, the end of the decade… so here we are. To celebrate the 2010s, and to anticipate the ranking of the best albums of the last 10 years, I am starting a nostalgico-musicalo-retrospective to be featured every Monday. To this end, I bring out Still in Rock archives, a good excuse to listen to some “old” songs again and start the week in the best possible way. Here is Still in Rock new series: LOOK BACK.



La fin de la décennie… nous y voici donc. Pour fêter la fin des années 2010s, et pour anticiper le classement des meilleurs albums de ces 10 années, je débute une rétrospective musicalo-nostalgique. Et pour ce faire, je compte bien ressortir les archives Still in Rock, une bonne excuse à l’écoute de quelques “vieilles” chansons pour commencer la semaine dans la meilleure des dispositions possibles. Voici la nouvelle rubrique de Still in Rock : LOOK BACK.


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Le 14 septembre 2012, je disais (en résumé) de l’album Lonerism du groupe Tame Impala :
(article)

Lonerism nous accompagnera toute notre vie. Le premier album du groupe, Innerspeaker, cherchait à plonger l’auditeur dans une sorte d’hypnose dont il ne sortait jamais. L’intention est ici tout autre, Lonerism est un cargo de nitroglycérine qui nous explose à la figure 50 minutes durant. Plus pop que le premier opus, il parvient également à être plus noir. Il faut dire que la guitare est faite d’acier tandis que la voix semble avoir été gravée dans un vieux vinyle des Beatles. Prenez votre cerveau et laissez-le reposer une bonne nuit dans le sèche-linge. Au petit matin, saupoudrez-le simplement des plus étranges substances chimiques : vous voilà dans l’univers de Lonerism.

En 2019, je rajouterais :

Quelle discographie ! Tame Impala a fait paraître deux chefs-d’oeuvre, Innerspeaker et Lonerism, et puis, un nombre de bouses dont j’ai arrêté de suivre la trace, incluant Currents, Patience et j’en passe… Kevin Parker a vendu son âme au diable et je m’assurerai que ce dernier la fasse brûler aussi longtemps que possible. Mais lorsqu’en j’en reviens à Lonerism, je m’agenouille devant ce qui est et restera peut-être comme le meilleur album de rock psychédélique de la décennie, des 50 dernières années, de l’histoire ?! Tame Impala y délivre un album cauchemardesque dans lequel la noirceur des mélodies sublime les sonorités que le monde entier découvrait pour la première fois. Je m’en souviendrai toute ma vie.


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