Ah, the end of the decade… so here we are. To celebrate the 2010s, and to anticipate the ranking of the best albums of the last 10 years, I am starting a nostalgico-musicalo-retrospective to be featured every Monday. To this end, I bring out Still in Rock archives, a good excuse to listen to some “old” songs again and start the week in the best possible way. Here is Still in Rock new series: LOOK BACK.
La fin de la décennie… nous y voici donc. Pour fêter la fin des années 2010s, et pour anticiper le classement des meilleurs albums de ces 10 années, je débute une rétrospective musicalo-nostalgique. Et pour ce faire, je compte bien ressortir les archives Still in Rock, une bonne excuse à l’écoute de quelques “vieilles” chansons pour commencer la semaine dans la meilleure des dispositions possibles. Voici la nouvelle rubrique de Still in Rock : LOOK BACK.
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J’ai plusieurs fois écrit sur les Wytches (lire), mais je voudrai aujourd’hui insister sur l’album Annabel Dream Reader. Je les ai interviewé (ici) et je me suis désolé que le groupe ne puisse probablement convertir personne à la sorcellerie. Il faut dire que sa musique est très marquée, une véritable expérience noire pour ceux qui trouvent de la joie à terroriser les sains d’esprits.
En 2019, le temps a passé et je n’en finis pas de revenir aux deux albums des Wytches. Je choisis ici le premier parce qu’il marque l’avènement du groupe. Les Anglais de Wytches délivrent un rock à la frontière entre un mauvais stoner et Vanilla Fudge. Ils en font quelque chose de crade et puissant à la fois. Il faut y ajouter que les instru’ sont splendides, que la voix est parfaitement menaçante et que les mélodies sont autant d’hymnes mal déguisés en un Halloween mordibe. Jamais la magie noire n’avait aussi bien été mise à l’honneur.
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