Delusions of December 2020 – Part 2

LP, 4 December 2020

[garage rock]

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EN: Several times, I’ve talked about Dumb Punts, the band from Melbourne that seems not to be done with slacker music. Last October, they released their second studio album, The Big One Two, and they didn’t disappoint. Songs like “Up All Night” and “Indents” remind me of the early 2010’s pop (jangle) scene of Peach Kelli and the scene. The rest is an endless feast, and if one could have wished for more flashy songs, we must already treasure a few of them – starting with “Didn’t Say Anyone to Anything“.

FR: Plusieurs fois j’ai parlé de Dumb Punts, ce groupe de Melbourne qui semble ne pas en avoir fini avec la musique slacker. En octobre dernier, il faisait paraître son deuxième album studio, The Big One Two, et il ne décevait pas. Les morceaux comme “Up All Night” et “Indents” me rappelle la scène (jangle) pop du début 2010s, celle de Peach Kelli et consoeurs. Le reste est une fête permanente, et si l’on aurait pu souhaiter des titres plus tape à l’oeil, je ne bouderai pas les quelques trésors qui s’y trouvent – au premier rang desquels “Didn’t Say Anyone to Anything“.

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EN: The album is not fully available at the time of writing, but that’s okay. Last September, I talked about his LP Protean Threat, and I was pointing out how Oh Sees seemed to enshrine the domination of robots over the human race (read). The first singles of Panther Rotate follow the same logic; indeed, they were composed and recorded during the same period. Let the humanists go, and let the world of futuristic movies that refuse to talk about the collaboration between humans and robots shine brighter: Oh Sees says it, this LP is the last experimentation before the great replacement.

FR: L’album n’est pas entièrement disponible à l’heure où j’écris ces quelques lignes, mais ça ne fait rien. En septembre dernier, je parlais de son LP Protean Threat, et je relevais à quel point Oh Sees semblait consacrer la domination des robots sur le genre humain (lire). Les premiers singles de Panther Rotate s’inscrivent dans la même logique, et pour cause, ils ont été composés et enregistrés durant la même période. Que les humanistes s’en aillent, et que le monde des films futuristes qui refusent de traiter de la collaboration humains et robots brille de mille feux : Oh Sees le dit, cet article, c’est la dernière expérimentation avec le grand remplacement.

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EN: Brick Head, it’s a band from Melbourne (one more) who, last summer, released its very first LP. If we already knew Sarah Hardiman from Deaf Wish and The Opals, the artist takes refuge in a garage punk that is also quite post-apocalyptic. This is definitely the theme of the week. As its name suggests, Brick Head strives to give us the same rhythm throughout the entire LP, as if it could get it into our hardened skulls. All the garage punk amateurs will cherish Thick as Bricks as the last obscure addition in their music library – right before 2021 ones.

FR: Brick Head, c’est un groupe originaire de Melbourne (un de plus) qui, l’été dernier, a fait paraître son premier LP. Si on connaissait déjà Sarah Hardiman pour Deaf Wish et The Opals, l’artiste se réfugie ici dans un garage punk lui aussi post-acopalyptique. C’est, décidément, le thème de la semaine. Brick Head, comme son nom l’indique, s’évertue à nous asséner le même rythme tout au long de son LP, comme pour mieux rentrer la chose dans nos crânes endurcis. Le tout contentera les amateurs de garage punk comme étant la dernière obscurité dans leur bibliothèque musicale – avant que celles de 2021 n’arrivent.