” We only write about two feelings: one is the first day of summer when you and all of your friends are standing on the edge of a cliff watching the sun set and being overcome with all of your hopes and dreams at once. The other is when you’re walking alone in the rain and realize you will be alone forever.” (The Drums).
The Drums. Quel enchantement. Il n’est pas le groupe de rock le plus connu de l’année, mais plutôt une découverte que les initiés ont su garder pour eux. The Drums n’est pas non plus une hit machine infernale, mais plutôt un joli concept musical où les chansons se succèdent les unes aux autres avec aisance. Alors que cet article devait initialement être très critique, un album peu à la hauteur de leurs EP, il sera finalement enthousiaste, une énième écoute ayant eu raison de ma sévérité. Une remarque toutefois, la suppression de la très bonne “I Felt Stupid” ne pourra être qualifiée que du nom de la chanson disparue.
Très peu d’arrangements ont été faits depuis les premiers EP, les chansons, plus brutes, transcrivent une véritable esthétique, très artistique. Une poignée de nouveaux sons fait son apparition, tous d’une résonance très minimale. The Drums s’écoute de longues heures, s’apprécie au coin d’un feu en hiver, en terrasse, verre à la main, une fois les beaux jours venus.
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