Ah, the end of the decade… so here we are. To celebrate the 2010s, and to anticipate the ranking of the best albums of the last 10 years, I am starting a nostalgico-musicalo-retrospective to be featured every Monday. To this end, I bring out Still in Rock archives, a good excuse to listen to some “old” songs again and start the week in the best possible way. Here is Still in Rock new series: LOOK BACK.
La fin de la décennie… nous y voici donc. Pour fêter la fin des années 2010s, et pour anticiper le classement des meilleurs albums de ces 10 années, je débute une rétrospective musicalo-nostalgique. Et pour ce faire, je compte bien ressortir les archives Still in Rock, une bonne excuse à l’écoute de quelques “vieilles” chansons pour commencer la semaine dans la meilleure des dispositions possibles. Voici la nouvelle rubrique de Still in Rock : LOOK BACK.
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J’ai de nombreuses fois écrit sur Shannon And The Clams. Je les adore, je les aime, je les admire. Tout classement des années 2010s qui ne parlera pas de Shannon et de ses clams sera au mieux une perte de temps, au pire, la publication poubelle d’un type qui n’a jamais enlevé ses bouchons auditifs à un concert. Ew.
En 2019, je ne peux m’empêcher de remarquer à quel point la discographie de Shannon & The Clams est extraordinaire. Sa musique est incomparable, unique. Au fil des albums, Shannon a magnifié la vieille Amérique des dive-ins, trash et pleine d’amour. Mais comment passer à côté de Sleep Talk, son deuxième album paru en 2011, un véritable modèle de ce que la garage pop mid-fi peut faire de mieux. Sur douze morceaux, Shannon délivre la bande-son de la soirée cannibale annuelle d’une plage d’Honolulu. Les sauvages ont des os dans le nez, des tatouages de boue, des cheveux jusqu’au cul et une vieille boombox qui fait résonner “The Cult Song”, “You Will Always Bring Me Flowers” et “Toxic Revenge”. L’album déborde de fun et de paroles cheesy, faisant référence à la fluorescence des années 80s. Et lorsque l’on combine le tout, on obtient un album qui a marqué les années 2010s… et que l’on écoutera toujours en 2040s.
En 2019, je ne peux m’empêcher de remarquer à quel point la discographie de Shannon & The Clams est extraordinaire. Sa musique est incomparable, unique. Au fil des albums, Shannon a magnifié la vieille Amérique des dive-ins, trash et pleine d’amour. Mais comment passer à côté de Sleep Talk, son deuxième album paru en 2011, un véritable modèle de ce que la garage pop mid-fi peut faire de mieux. Sur douze morceaux, Shannon délivre la bande-son de la soirée cannibale annuelle d’une plage d’Honolulu. Les sauvages ont des os dans le nez, des tatouages de boue, des cheveux jusqu’au cul et une vieille boombox qui fait résonner “The Cult Song”, “You Will Always Bring Me Flowers” et “Toxic Revenge”. L’album déborde de fun et de paroles cheesy, faisant référence à la fluorescence des années 80s. Et lorsque l’on combine le tout, on obtient un album qui a marqué les années 2010s… et que l’on écoutera toujours en 2040s.
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