Martian Subculture : soucoupe volante et canapé sur Lune
Martian Subculture, c’est l’un de mes nouveaux chouchous. Classé deuxième meilleurs EP de 2017 (ici), et 26ème meilleur morceau (ici) avec son “Chewing Gum“, je ne pouvais que me réjouir lorsqu’il m’annonçait la parution d’un nouvel EP, le 31 décembre
Interview Still in Rock : Cut Worms
English version (french below) After the last of the mohicans, here’s the last of the romantics. In the footsteps of Goethe, of Beethoven’s dissonance and Rubbens, Cut Worms makes this artistic movement the latest trend in terms of bedroom pop. Or should I say martian pop. Cut Worms is n
Martian Subculture : bedroom pop mutante
Martian Subculture, c’est Evan O’Malley, un artiste irlandais sur lequel j’ai déjà eu l’occasion d’écrire un article en juin dernier (lien). Son credo à lui, c’est la pop spectrale, savant mélange de bedroom et de sons fantomatiques. Son premier EP est p
Martian Subculture : pop spectrale sur la Lune
Martian Subculture est un nouveau projet fascinant. Evan O’Malley est un artiste irlandais qui fait dans la pop folk psychédélique et spectrale, à la façon d’Anna et de Thee Grinch, tendance Alexander “Skip” Spence. Dans le monde de Martian Subculture, le weird
Still in Rock présente : The Babe Rainbow (Psych Pop)
The Babe Rainbow est un groupe(ment) originaire de Byron Bay (Australie) qui a fait paraître son EP self titled le 10 juillet dernier. Composé de quatre morceaux, on y trouve une belle pop (soft) psychédélique qui emprunte à la surf music. Mais avant de m’attaquer à ce qu
Single : Murals – Violent City Lantern (Psych Pop Folk)
Murals on FaceBook Murals est, sans conteste, la plus belle et la plus longue histoire d’amour de Still in Rock. Je me plais toujours à le répéter, le groupe à fait l’objet d’un Album Review en 2012, d’un interview, d’un live review, et il a créé le Colorcast avec
Single : Woods – With Light And With Love (Psych Pop-Folk)
Ahh Woods. Nous n’avions presque pas eu de nouvelles depuis leur album Bend Beyond (Album Review). Une petite reprise des Kinks et puis s’en va. Pourtant, Woods est l’un des groupes majeurs de la scène américaine. Une raison particulière à cela ? Il n’en finit pas de fair